Cette édition a été préparée de Montréal où nous avons reçu plus de 74 cm de neige à la mi-février. Neige que les équipes s'affaire encore à collecter. Parce que oui, on collecte la neige en ville.. Parce qu'il n'y a pas de place. Un sujet qui a inspiré cette trendsletter. ❄️❄️ Bonne lecture 〰️ 〰️ 〰️ L’hiver, on la pelle, on la pousse, on l’exporte… comme si elle était un fardeau. Pourtant, la neige pourrait être bien plus qu’un obstacle à dégager. Lors d’un projet sur l’avenir de la nordicité avec l'accélérateur d'entreprises culturels La Piscine, il y a quelques années, j’ai exploré cette question en profondeur. Aujourd’hui, je replonge avec vous dans cet univers fascinant avec grand plaisir. Au Québec, le père de la nordicité est Louis-Edmond Hamelin, Géographe ayant inventé le terme dans les années 60. Louis-Edmond Hamelin après avoir exploré le territoire est venu à la conclusion que le point le plus sud de la nordicité est Montréal. FORMULE: Cette infolettre est construite à partir d’une approche de tendances à signaux : des mouvements sociétaux larges jusqu'aux micro-initiatives émergentes et des sources de veilles géographiques sont partagées plus bas. 2 tendances actuelles Signaux hivernauxD’ici et d’ailleurs, voici quelques initiatives qui repensent notre rapport à la neige et à l’hiver :
Où observer la nouveauté hivernale🔎Pays nordiques, of course
🇯🇵 Japon qui est entre traditions et technologies de pointe, en particulier la ville de Hokkaido ressort plusieurs fois dans mes recherches 🇨🇦 Canada en particulier la ville de Winnipeg avec son concours annuel de Warming Huts 🛖 et autres initiatives comme les vélos-patins nommé plus haut à The Forks aussi (parc au centre-ville). 🇨🇦 Ces autres endroits où la nouveauté se cache au Québec (province du Canada), en particulier:
〰️ 〰️ 〰️ Dans le passéAu cas où vous auriez manqué. 🎙Marie-Michèle était au micro de Votre Samedi, sur Radio Canada pour s'exprimer sur la déconsommation et ses comportements connexes (FR)
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Cette infolettre vous est présenté... par le train. Littéralement : alors que je prenais le train de retour d'Ottawa à Montréal (un rituel annuel que j'associe désormais à l'observation silencieuse et à la réflexion), je n'ai pu m'empêcher de constater que certaines choses avaient changé à bord. Des signaux discrets, des comportements subtils et des décisions audacieuses de la part des passagers comme des opérateurs – tout indique un changement dans nos façons de nous déplacer, dans nos...
This trendsletter was brought to you... by the train. Literally: As I was riding the train back from Ottawa to Montréal (a yearly ritual I now associate with quiet observation and reflection), I couldn’t help but notice how much has changed onboard. Small signals, subtle behaviors, and bold decisions by passengers and operators alike — all pointing toward a shift in how we move, what we value, and how speed isn't everything anymore. Let’s take a look at what’s brewing on the rails. 〰️ 〰️ 〰️ 👀...
This edition was prepared in Montreal, Canada, where the news hasn't been particularly good in recent months. New here? Don't hesitate to send me a message to let me know what you're looking for in this newsletter. Happy reading! 〰️ 〰️ 〰️ Between climate crises, geopolitical conflicts, and inflation creeping into our plates, it's hard not to feel information fatigue. And yet, a counter-current is slowly but surely emerging: Good news movement. 💌 The counter-current that does good In recent...